- EAN13
- 9782290023532
- ISBN
- 978-2-290-02353-2
- Éditeur
- J'ai Lu
- Date de publication
- 14/01/2011
- Collection
- Science-fiction (1)
- Séries
- Les rois-dragons (1)
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 2,2 cm
- Poids
- 224 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 848
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1 - Le palais adamantin
Les rois-dragons
De Stephen Deas
Traduit par Florence Dolisi
J'ai Lu
Science-fiction
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Les rois-dragons 1
Le Palais Adamantin
Jadis, la race des hommes faillit bien disparaître sous les crocs des dragons, mais ils découvrirent un procédé alchimique par lequel ils soumirent leurs prédateurs. Les terribles créatures servent aujourd'hui de montures aux chevaliers et de monnaie d'échange entre les grandes maisons aristocratiques. Les Royaumes ont prospéré, attirant bien des convoitises, comme celle de cet homme qui rêve de les diriger tous. Un homme prêt à empoisonner des rois et des reines. Un homme prêt à assassiner sa maîtresse et à coucher avec la fille de cette dernière. Mais des flammes vont lui barrer la route du pouvoir. Un dragon s'est échappé, et il a retrouvé ses pleines capacités intellectuelles, toute sa fureur... À lui tout seul, il pourrait bien mettre la race des hommes à genoux.
Et il n'est pas seul.
Le Palais Adamantin
Jadis, la race des hommes faillit bien disparaître sous les crocs des dragons, mais ils découvrirent un procédé alchimique par lequel ils soumirent leurs prédateurs. Les terribles créatures servent aujourd'hui de montures aux chevaliers et de monnaie d'échange entre les grandes maisons aristocratiques. Les Royaumes ont prospéré, attirant bien des convoitises, comme celle de cet homme qui rêve de les diriger tous. Un homme prêt à empoisonner des rois et des reines. Un homme prêt à assassiner sa maîtresse et à coucher avec la fille de cette dernière. Mais des flammes vont lui barrer la route du pouvoir. Un dragon s'est échappé, et il a retrouvé ses pleines capacités intellectuelles, toute sa fureur... À lui tout seul, il pourrait bien mettre la race des hommes à genoux.
Et il n'est pas seul.
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