- EAN13
- 9782714310712
- ISBN
- 978-2-7143-1071-2
- Éditeur
- José Corti
- Date de publication
- 11/2011
- Collection
- LITTERATURE ETR
- Nombre de pages
- 236
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 2 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 811.54
- Fiches UNIMARC
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Paul BLACKBURN
Villes suivi de Journaux
Traduit de l’anglais (Etats-Unis)
par Stéphane BOUQUET
Poésie (Série américaine)
ISBN 978-2-7143-1071-2
N° édition : 2104
176 pages – 22 Euros
Parution 3 novembre 2011
Publié en 1967, Cities est le premier livre de taille de Paul Blackburn. Il regroupe des poèmes écrits dans les années 50 et 60 et le livre est organisé si l’on peut dire géographiquement : New York – la France (qu’il n’aime pas tellement, voire qu’il déteste) – New York – l’Espagne (qu’il aime beaucoup) – New York. Les poèmes sont très majoritairement écrits autour de trois motifs : l’errance dans les rues & les parcs ; les femmes ; les voyages en train et en métro.
A partir de la fin de 1967, Blackburn commença de composer des poèmes au jour le jour. Ces années-là semblent marquer une sorte de pause heureuse dans sa vie, induite par la rencontre de Joan et la naissance de son fils Carlos, en 1969, lesquels sont des personnages récurrents de ces pages. En décembre 70, on diagnostique un cancer de l’œsophage à Blackburn. Il continue à écrire, et à fumer, considérant la mort avec un détachement volontaire. Après sa mort, Robert Kelly réunira les poèmes épars dans le volume de Journals.
L’auteur :
Paul Blackburn (1926-1971) est assez peu, voire pas, connu, en France. Il a pourtant influencé de nombreux poètes américains, tant par ses écrits et ses traductions que par le soutien sans relâche qu’il a offert à nombre d’entre eux, organisant des rencontres, des lectures, etc.
De son vivant, il a publié treize recueils et traduit quelques œuvres majeures de l’espagnol, notamment les nouvelles de Cortazar (dont il fut quelque temps l’agent littéraire pour les Etats-Unis) et les poèmes de Lorca.
L’ensemble de son œuvre personnelle a été réuni par Persea Books, New York, en 1985.
La Série américaine de Corti
PAUL BLACKBURN, Villes
ANNE CARSON – Verre, Ironie et Dieu
E. E. CUMMINGS – Poèmes choisis
EMILY DICKINSON – Une âme en incandescence
EMILY DICKINSON – Lettres au Maître
EMILY DICKINSON – Avec amour, Emily
EMILY DICKINSON – Y aura-t-il pour de vrai un matin ?
ROBERT DUNCAN - Ouverture du champ (AP)
H. D. – Trilogie,
YVES DI MANNO – Objets d'Amérique
MARIANNE MOORE – Poésie complète
GEORGE OPPEN – Poésie complète
MICHAEL PALMER – Première figure
JEROME ROTHENBERG – Les Techniciens du Sacré,
CLAUDIA RANKINE – Si toi aussi tu m’abandonnes
WALLACE STEVENS – Harmonium
WALLACE STEVENS – À l’instant de quitter la pièce
COLE SWENSEN – Si Riche heure
COLE SWENSEN – L’Âge de verre
KEITH WALDROP – Le Vrai sujet
WALT WHITMAN – Feuilles d’herbe (1855)
WILLIAM CARLOS WILLIAMS – Paterson
Villes suivi de Journaux
Traduit de l’anglais (Etats-Unis)
par Stéphane BOUQUET
Poésie (Série américaine)
ISBN 978-2-7143-1071-2
N° édition : 2104
176 pages – 22 Euros
Parution 3 novembre 2011
Publié en 1967, Cities est le premier livre de taille de Paul Blackburn. Il regroupe des poèmes écrits dans les années 50 et 60 et le livre est organisé si l’on peut dire géographiquement : New York – la France (qu’il n’aime pas tellement, voire qu’il déteste) – New York – l’Espagne (qu’il aime beaucoup) – New York. Les poèmes sont très majoritairement écrits autour de trois motifs : l’errance dans les rues & les parcs ; les femmes ; les voyages en train et en métro.
A partir de la fin de 1967, Blackburn commença de composer des poèmes au jour le jour. Ces années-là semblent marquer une sorte de pause heureuse dans sa vie, induite par la rencontre de Joan et la naissance de son fils Carlos, en 1969, lesquels sont des personnages récurrents de ces pages. En décembre 70, on diagnostique un cancer de l’œsophage à Blackburn. Il continue à écrire, et à fumer, considérant la mort avec un détachement volontaire. Après sa mort, Robert Kelly réunira les poèmes épars dans le volume de Journals.
L’auteur :
Paul Blackburn (1926-1971) est assez peu, voire pas, connu, en France. Il a pourtant influencé de nombreux poètes américains, tant par ses écrits et ses traductions que par le soutien sans relâche qu’il a offert à nombre d’entre eux, organisant des rencontres, des lectures, etc.
De son vivant, il a publié treize recueils et traduit quelques œuvres majeures de l’espagnol, notamment les nouvelles de Cortazar (dont il fut quelque temps l’agent littéraire pour les Etats-Unis) et les poèmes de Lorca.
L’ensemble de son œuvre personnelle a été réuni par Persea Books, New York, en 1985.
La Série américaine de Corti
PAUL BLACKBURN, Villes
ANNE CARSON – Verre, Ironie et Dieu
E. E. CUMMINGS – Poèmes choisis
EMILY DICKINSON – Une âme en incandescence
EMILY DICKINSON – Lettres au Maître
EMILY DICKINSON – Avec amour, Emily
EMILY DICKINSON – Y aura-t-il pour de vrai un matin ?
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CLAUDIA RANKINE – Si toi aussi tu m’abandonnes
WALLACE STEVENS – Harmonium
WALLACE STEVENS – À l’instant de quitter la pièce
COLE SWENSEN – Si Riche heure
COLE SWENSEN – L’Âge de verre
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WALT WHITMAN – Feuilles d’herbe (1855)
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